Carte de situation:
Les Graves Montesquieu ? Une appellation qui n’existe pas ! Fruit de l’imagination de l’association SIGM en 1994, créant l’association Syndicat d’Initiative des Graves Montesquieu, les deux mots Graves (le terroir ) et Montesquieu ( l’écrivain) ont été associés !
Le patrimoine des Graves Montesquieu se trouve sur un territoire situé à 15 minutes par autoroute des gares du tramway de Bordeaux, ville accueillante du XVIII° siècle. Il s' est constitué en Communauté de communes en 2002.
Arrêts en gare SNCF à Cadaujac, et Beautiran.
Aéroport international de Bordeaux Mérignac.
En avion
En voiture
En train
En tram et bus, dans l'agglomération bordelaise
Les Savoirs et Images sur : Ayguemorte- les-Graves, Beautiran, Cabanac-et-Villagrains, Cadaujac, Castres Gironde, Isle-Saint-Georges, La Brède, Léognan, Martillac, Saint-Médard-d'Eyrans, Saint-Morillon, Saint-Selve, Saucats
Sur les 14 églises des Graves Montesquieu, 9 sont romanes
Cet ouvrage n'est plus disponible sur papier, mais il nous a paru intéressant de le publier sur Internet . Il récapitule " tout ce qu'il y aurait à voir, tout ce qu'il y aurait à deviner " dans les 13 communes des Graves Montesquieu.
" Cultures et traditions locales : du visible à l'introuvable" : par Anne-Marie et Jean-Claude Caron
Ces pages, sans photos, en noir et blanc, ont pour origine une série d’articles parus dans le journal local " l’ANOPHELE" de février 1994 à juillet 1996, sous ce titre. Une des références est « le Guide de l’Art et de la Nature » de Michel de La Torre, édité en 1979 par Berger-Levrault pour le compte de la Bibliothèque Nationale de Paris .
Le but de ces articles était de montrer à quel niveau avaient été prises les mesures nécessaires pour conserver , entretenir les vestiges historiques, pour en faciliter l’accès , ou promouvoir les traditions populaires répertoriées dans le "Guide de l'Art et de la nature" . Un autre but était , tout en encourageant le promeneur à découvrir le patrimoine cantonal, de lui éviter de perdre son temps à chercher ce qui était devenu introuvable, ou non visible dans des propriétés privées par exemple . Cette enquête de terrain a conduit à interroger du personnel communal, des élus, des habitants , et à contacter des historiens locaux ( M.Lacoste - Lagrange de Martillac, M. Tauzin de Castres, M. Coussillan d'Isle Saint Georges...)