Année Rousseau au fil des semaines : conférences, animations , une exposition d' illustrations de Maurice Leloir jusqu'au 16 septembre , un Bar à VINS à partir du 22 juillet à Mongenan Portets Gironde

LeloirDans l'attente du Bar à Vins philosophique qui réunira chaque dimanche d'été au Château de Mongenan à Portets à partir du 22 juillet à 16h30, autour de Jacques Albert-Canque et de Florence Mothe, tous les amoureux de Rousseau et de la littérature qui auront à coeur de retrouver les traces de Jean-Jacques chez Chateaubriand, Holderlin, Kleist, Novalis, Gérard de Nerval, Victor Hugo, Karl Marx, Michelet, Camus ou Sartre, ce sont les amateurs de vins qui ont été conviés le 14 et le 15 juillet, à s'interesser à deux cépages oubliés du bordelais, la Muscadelle et le Malbec. Rares sont les propriétés à posséder encore ces raretés aujourd'hui protégées. La muscadelle qui faisait les délices de la Cour des Tsars qui la baptisaient Ximenes Kinsky apporte aux vins qui en présentent un délicieux parfum d'acacia et de chevrefeuille.
Le Malbec que l'on appelle également le côt est arrivé dans le bordelais au moment de la Renaisance. S'il a largement disparu en France, il s'est expatrié en Argentine et au Chili et apporte aux vins qui en contiennent couleur et moelleux.
Comment et pourquoi ces cépages ont-ils disparu ? Quels crus en étaient complantés ? Comment le vignoble de Bordeaux a-t-il évolué des Romains à nos jours ? C'est ce qui a été expliqué aux visiteurs du Château de Mongenan les 13 et 14 juillet, avec dégustations de ces cépages qui en ont surpris plus d'un.
Renseignements 05 56 67 18 11 Entrée 8 euros Gratuit jusqu'à 12 ans (dégustationde jus de raisin pour les enfants)

Rousseau à travers les illustrations de Maurice Leloir" se tient au château Mongenan à Portets jusqu'au 16 septembre et permet de découvrir objets, partitions, éditions originales, manuscrits et portraits de Jean-Jacques Rousseau. Entrée 8 euros ; gratuit jusqu'à 12 ans ; renseignements 05 56 67 18 11 ;site : http://www.Châteaudemongenan.com

 

 
 

 

 

Maurice Leloir était un des premiers artistes à avoir compris à quel point le costume renseignait sur l'état de la société.Sur ce plan, il était tellement incollable, qu'après avoir fondé avec Edouard Detaille et Maurice Maindron la Société d'Histoire du Costume en 1907, il constitua une si belle collection de costumes du XVIII° siècle que celle-ci fut offerte en 1920 au Musée Carnavalet qui lui permit de l'enrichir jusqu'à sa mort en 1940.
Maurice Leloir est surtout connu du grand public pour avoir été le décorateur des salons de thé de La Marquise de Sévigné. Son art délicat, inspiré des graveurs du XVIII° siècle, sa parfaite connaissance de cette époque, lui permit de participer comme décorateur à d'innombrables films et de publier trois volumes sur l'art du costume au XVIII° siècle dans les années 1930.

Mais l'oeuvre maîtrese de Maurice Leloir demeure les illustrations qu'il réalisa pour "Les Confessions" de Jean-Jacques Rousseau. Il put y déployer sa minutie de graveur ayant reçu le Prix de Rome, son art consommé du portrait, sa connaissance profonde de l'ancien régime.

Pour sa grande exposition d'été, le Château de Mongenan a choisi de retrouver Jean-Jacques à travers les images de Maurice Leloir. Les oeuvres de ce maître dialogueront à partir du 23 juin et jusqu'au 16 septembre
avec les phrases de Rousseau. Costumes, manuscrits, éditions originales, herbiers, accompagneront les pas du visiteur qui retrouvera Jean-Jacques à nu, tel que Leloir le représentait dans le frontispice des Confessions.
Pour illustrer cette exposition, Florence Mothe expliquera, dimanche 24 juin à 17 h, quels rapports furent noués par Rousseau avec un écrivain girondin, à la carrière tourmentée : Alexandre Deleyre , qui fut secrétaire de Montesquieu à partir de 1740 . Cet"oublié et dédaigné" selon les mots de Charles Monselet qui fut député du District de Cadillac à la Convention, mérite une étude attentive. Non seulement en raison de l'intérêt et de l' abondance de son oeuvre, mais aussi parcequ'il fut de 1740 à la mort du philosophe en 1778 le principal confident de Rousseau, plus encore sans doute que Diderot.
Florence Mothe raconte la rencontre, l'amitié, l'aventure de l'Encyclopédie, l'expérience des ambassades, la liaison avec Mme d'Houdetot et la passion pour les "bons sauvages" et l'enseignement dont ni l'un ni l'autre ne voulurent démordre.

 

 

 

pompadourPortraiturée par Boucher ,et plus encore au naturel, Mme de Pompadour était exquise. C'est peut-être ce qui fit le succès du Devin du Village, petit opéra-comique en un acte de Jean-Jacques Rousseau qui fut représenté pour la première fois au Château de Fontainebleau le 18 octobre 1752.

La création d'une oeuvre est-elle un évènement ? Sans doute s'il s'agit du premier opéra dont les paroles et la musique sont du même auteur. Sans doute aussi si la favorite d'un Roi se costume en bergère et ne dédaigne pas de se faire nommer Colette et tutoyer en scène. Enfin aussi le Roi qui chante abominablement faux siffle à tue-tête les pricipaux airs.
C'est ainsi que Mme de Pompadour permit à Rousseau, réputé pour être rébarbatif et revêche, sauvage et incompris, d'être applaudi, écouté, entendu. Dans Les Confessions, Jean-Jacques racontait qu'il était fort heureux qu'aucune claque ne soit admise durant les représentations royales, ce qui permettait aux auditeurs de suivre de spectacle.
Habitué aux sifflets et aux critiques assassines, Rousseau connut ce soir-là le plus beau soir de sa vie. Entre deux coups d'éventails, les dames s'écriaient : "Mais c'est charmant, il est charmant!", compliments qu'on lui avait rarement adressés.
Pour autant, l'affaire du Devin du Village fut-elle aussi simple que Rousseau le raconte ? Quel accueil le vrai public accorda-t-il à l'ouvrage lors de sa représentation à Paris ? Rousseau était-il l'unique auteur de l'oeuvre ? Pourquoi l'accusa-t-on de plagiat ? Dans la conférence qu'elle donnera dimanche 17 juin à 17 h au Château de Mongenan, Florence Mothe tentera de déméler l'écheveau compliqué des relations de Rousseau avec ses contemporains musiciens et de raconter quelles aventures ont effectivement entouré la naissance du Devin du Village.
Reste que Mozart ne négligea pas de copier Rousseau quelques années plus tard en composant Bastien et Bastienne et qu'il fallut attendre 1956 pour que le Devin soit enregistré, dans l' interprétation de Janine Micheau et Nicolaï Gedda, ce qui prouve que, de siècle en siècle, Rousseau avait tout de même eut droit aux meilleurs !

 

 

 

 

 

 

 

220px-Jean-Jacques_Rousseaumongenan_FRA l'occasion des Rendez-vous aux jardins, le 1° juin à partir de 14 h, les 2 et 3 juin de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h, le Château de Mongenan à Portets (Gironde), dont l'entrée reste cependant payante (8 euros) distribuera gratuitement à ses visiteurs graines introuvables et boutures de rosiers anciens. Coreopsis, rudbeckia, statices, indigo, vitex, carduncellus coerulus, echinops ritro, saponaire, eupatoire, heracleum mantegazzianum et beaucoup d'autres plantes seront notament disponibles en graines tandis que le Sénateur La Folette, Abraham Darby, Ghislaine de Féligonde, Mme de Parabère, Albéric Barbier et bien d'autres ne demanderont qu'à prendre racine dans des jardins amis.

Les Rendez-vous aux jardins seront également l'occasion de découvrir le talent d'une photographe d'art, Annick Maelle, qui s'est promenée dans les jardins de Mongenan et en a tiré de nombreux clichés. Un balcon, un papillon, un feuillage, un vieux tronc d'arbre, tout a été prétexte à composition que l'on retrouvera sur dix huit photos composant une exposition qui est ouverte au public tous les après-midi jusqu'au 20 juin.

Cette exposition permettra également de retrouver les gravures de Rousseau jeune chez son maître genevois, Albert Ducommun et celles de Redouté qui ont illustré l'édition originale des Letres sur la botanique.

Renseignements 05 56 67 18 11

 

 

Le monde entier célèbrera en 2012 le trois centième anniversaire de la naissance de Jean-Jacques Rousseau. Le Château de Mongenan qui conserve nombre de souvenirs de ce philosophe et dont les jardins s’inspirent intégralement de son message ne pouvait être étranger à cet hommage. Toute la programmation du printemps et de l’été 2012 sera consacrée à Jean-Jacques avec des conférences, des lectures, des expositions, des représentations et des concerts.
Rousseau était loin d'être un inconnu dans notre région où il comptait plusieur amis, Montesquieu, tout d'abord, qu'il rencontra dans le salon de Mme Geoffrin, et Antoine de Gascq, auquel il donna des cours de musique et de botanique.
Le Château de Mongenan ,c’est un Monument Historique, un vignoble réputé d’AOC Graves, un jardin botanique, un musée du XVIII° siècle 33640 Portets ; Monument Historique privé ouvert à la visite, labellisé "Jardins Remarquables", "Potager de France", "Roseraie de France SNHF","Best of Wine Tourisme" lire la suite par un clic plus bas Tel : 05 56 67 18 11 Fax: 05 56 67 25 82 site : http://www.Châteaudemongenan.com
 
 
 
 

Le dimanche 27 mai à17 h, FLorence Mothe s'attachera, au Château de Mongenan, à rechercher le message de Rousseau dans l'oeuvre de ses disciples. Quels furent les Emile du grand homme ? Voulut-il former une école de pensée ? Les Anarchistes sont-ils ses frères ?
C'est à quelques unes de ces questions que tentera de répondre cette conférence qui fera la part belle à Elisée Reclus, qui, curieusement, habita Clarens, le "paradis perdu" de l'auteur du Contrat Social durant son exil sur les bords du Lac de Genève...

L'histoire d'un ruisseau", "L'homme et la nature prenant conscience d'elle même", "La géographie universelle"... Ces différentes oeuvres d'Elisée Reclus sont dans le droit fil de la pensée de Jean-Jacques Rousseau. Le citoyen protestant de Genève fut-il le père spirituel du géographe et anarchiste protestant girondin, exilé en Suisse pour opinions politiques ? L'héritage moral et philosophique de Rousseau sous-tend l'oeuvre de nombreux aueurs du XIX° siècle. Le Bar à Vins philosophique du Château de Mongenan tentera cet été, en conclusion de la célébration du tri-centenaire de Rousseau, de chercher avec Jacques Albert-Canque les traces de sa pensée dans les phrases d'Holderlin, Kleist, Novalis, Victor Hugo, Lamartine, Karl Marx, Chateaubriand, Sartre, Camus et tant d'autres. Mais l'influence de Rousseau, tant revendiquée ou si repoussée, a été plus insidieuse. Elle a marqué les foules d'un message global, car elle a modifié en profondeur les sensibilités. Existerait-il aujourd'hui un écologisme s'il n'y avait eu Rousseau et Reclus ? Existerait-il aujourd'hui un sociologue spécialiste des Arts Premiers s'il n'y avait eu Rousseau et Bernardin de Saint Pierre ?




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paireVOLTAIRE et ROUSSEAU dimanche 22 avril

Auraient-ils pu s'entendre ? Auraient-ils pu dialoguer comme deux confrères épris d'un même idéal de liberté ? Voltaire et Rousseau, après une période d'observation, ont préféré la rupture. Rousseau détestait tout ce qu'inspirait Voltaire : l'entrepreneur, l'ami des grands, l'écrivain sans pitié pour les humbles. Voltaire détestait tout ce qu'incarnait Rousseau : Une sensualité bizarre, l'étalage d'une fausse modestie, des théories insincères qui lui rappelaient trop ses propres prises de position dans l'Affaire Calas, une humilité de façade et une sensibilité ridicule.


Bref, ils s'entretuèrent comme seuls peuvent le faire les écrivains, les artistes, les musiciens.
Florence Mothe racontera le dimanche 22 avril au Château de Mongenan à Portets cette longue lutte, ces deux tempéraments irréconciliables et les circonstances de la rupture.
Une affaire d'hommes qui appartient à l'histoire de la littérature et à celle de la pensée et qui symbolise aussi la rupture du monde des Lumières avec le monde de la Révolution.



Renseignements: Château de Mongenan 05 56 67 18 11
Entrée 8 euros, gratuit jusqu'à 12 ans. Exposition "La botanique au XVIIII° siècle" tous les jours de 14 h à 18 H jusqu'au 27 avril.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
da0003b94imanche 11 mars 17 h Illustration : La Camargo par Lancret

A force de le considérer seulement comme un philosophe, on a perdu une part importante de la personnalité de Rousseau qui est son amour de l'art et des artistes. "La musique, écrivait-il, est l'art d'assembler des sons de manière agréable à l'oreille." Il a donc érit pour le théâtre, pour l'opéra, pour le ballet et a été représenté avec un vif succès dans un univers où les cabales étaient légion. Quelle était la vie "culturelle" sous Louis XV et Louis XVI ? Qui furent Jéliotte, Marie Sallé, Dauberval? Qui prit part à la fameuse empoignade des bouffons ? Pourquoi la représentation graphique ou théâtrale avait-elle tant d'importance ? Rousseau a été mêlé à tout cela, en raison du rôle que lui a fait jouer contre Rameau le Maréchal Duc de Richelieu, surintendant des Menus Plaisirs de Sa Majesté.
Manipulations, coups bas, intrigues, Florence Mothe retrouve ses années de critique musicale pour raconter en détail la vie de tout ce très joli monde qui dansait sur un volcan.Plusieurs oeuvres musicales et chorégraphiques de Jean-Jacques seront programmées cet été à Mongenan.

 
 
dimanche 4 mars : les herbiers de Rousseau

Rousseau, Diderot, Deleyre, trois amis qui se tutoyaient et parvinrent à refaire le monde. C'est le thème du dimanche 4 mars à 17 h .
Diderot était un personnage charmant, paradoxal, fantasque, culotté. Deleyre était un personnage grave, renfrogné, sûr de lui, un chevalier à la triste figure. Rousseau était un personnageDiderot-Fragonard-web insaisissable, attachant, toujours en crainte d'être attaqué, un peu paranoïaque et cultivant volontiers la théorie du complot.
Des complots contre ces trois là, il y en eut beaucoup. La République des Lettres, les salons, le Parlement, la Cour, tout se ligua pour tenter de les empêcher de mettre au point l'oeuvre maîtresse à laquelle ils étaient attelés : l'Encyclopédie.
Rousseau n'appartenait pas au groupe fondateur des Encyclopédistes, mais il était lié d'affection à Diderot - qui lui donna la trame de son oeuvre- et au portésien Alexandre Deleyre qui avait le privilège de tutoyer l'hermite de Montmorency.
Quels furent les rapports de ces trois fameux écrivains, quelle personnalité était la leur, comment avait-elle été forgée, quelle fut l'attitude de d'Alembert ? Voila quelques uns des thèmes traités au cours de cette conférence durant laquelle Florence Mothe s'attache à évoquer également un aspect peu connu de la contribution de Rousseau au fameux ouvrage : la botanique.

 

 

 

 

 
 

abb11_frRévolution Française: C'est la faute à Rousseau ?

Dimanche 26 février à 17 h au Château de Mongenan qui conserve, par ailleurs, de très nombreux documents relatifs à la Révolution Française, sujet controversé : Jean-Jacques Rousseau est-il l'inspirateur de la Révolution ?
Cette question, depuis 1789, a fait couler beaucoup d'encre et de salive. Effroyable agitateur pour la droite, génie du peuple pour la gauche, Rousseau est devenu une sorte de tarte à la crème patriotique, essentiellement partagée par ceux qui n'ont pas pris la peine de lire son oeuvre. Qu'a-t-il dit exactement dans le Contrat Social? Quel est le message qu'il a adressé aux Polonais et aux Corses pour lesquels il a imaginé des formes de gourvernement originales qui inspireront d'ailleurs Napoléon Bonaparte ? En quoi le bon sauvage, l'homme libre à l'état de nature peut-il être considéré comme un citoyer puisque la société le corromp et le place partout dans les fers ? Quel rapport pour Rousseau entre l'Etat, la Liberté et la Justice ? Comment l'homme peut-il choisir la forme de gouvernement qui lui est imposée ? Voilà quelques uns des thèmes traités au cours de cette conférence permettant de pénétrer plus intimement dans l'esprit de Rousseau et sans doute, de donner envie de lire ou de relire son oeuvre.

Renseignements: Château de Mongenan, Portets Tel 05 56 67 18 11

 

19 février dans un temps de froidure que n'auraient désavoués ni le XVIII° siècle, ni Rousseau le Savoyard, dimanche 19 février à 17h, Florence Mothe se penche sur les bizarres rapports que Rousseau entretenait avec les femmes. Il sera naturellemnt question d'Oedipe et de sa "Chère Maman", Mme de Warrens, dont il fut éperduement amoureux dans sa jeunesse. Amours impossibles, amours inconclus, amours tarifées, la vie de Rousseau est une longue suite de désagréments amoureux, ce qui n'est pas très original pour la vie d'un homme de lettres. En revanche, ce qui l'est davantage, c'est la manière disparate dont Rousseau a aimé ou cru aimer chacune de ses compagnes et la manière dont il a fait leur portrait à travers Julie, l'héroïne de La Nouvelle Héloïse.
Passer de l'amour vrai au roman, de la mère à la jeune fille, des Délices au Jardin de Clarens, c'est à cette promenade enchantée que Florence Mothe convie ses auditeurs.

Rousseau de Mme de Warrens à Julie.

 
 
 
29 janvier jjr_armenien2012

Rousseau était-il fou ? C'est la question posée par Florence Mothe, le dimanche 29 janvier à 17 h au Château de Mongenan, avec commentaire d'un très beau texte de Rousseau, écrit à la fin de sa vie "Rousseau juge Jean-Jacques".
Dans ce texte, l'auteur du Contrat Social se prononce pour la thèse d'un complot universel qui aurait été ourdi contre lui par ses ennemis de la République de Lettres.
Qu'en était-il exactement ? De quoi était née la rancoeur de Voltaire ? Qelles avanies fit-il à Rousseau et comment Jean-Jacques les accepta-t-il ?
De cette bagarre entre écrivains sont nées quelques unes des plus sublimes pages de la littérature française. Rousseau était-il fou ou faut-il que l'artiste souffre pour écrire ? La conférence de dimanche, sans nul doute, devait répondre - en partie- à ces graves questions.

Illustration: Portrait de Rousseau en Arménien réalisé au moment d'une autre de ses crises : la "lapidation" de Motiers consécutive à l'auto-da-fé de l'Emile.

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